Carnet de route

WE Montagne trappeur

Le 30/05/2010 par BINDER Jean

 

BILAN WE TRAPPEUR
·        
Découverte milieu montagnard.
 
 Voir les photos :
 

Lucie

 
 
Quatre vaillants « trappeurs » ont répondu présents à ce premier WE organisé pour aller à la découverte du milieu montagnard en période printanière. Mais les conditions climatiques étaient plus proches de l’hiver au regard de l’enneigement. Qu’importe, les objectifs ont été quand même atteints et l’expérience de cette première sortie enrichissante.

 

 
Lieu : La Madone de Fenestre :
Participants : Lucie, Lucas, Florian, Clément
Encadrants : Claudine et Jean                                      
Parents : David (avec Natacha – 2 ans et demi) – Sophie (avec Julie – 2 ans et demi) et Lionel
Samedi 29 mai
Arrivés à La Madone de Fenestre vers 12h 30, on s’installe vite. Après un casse croute attendu par tous, on s’équipe vite pour une petite rando de mise en jambe vers la « Baisse des 5 lacs ». Vite car le temps est incertain et il ne faut pas rentrer trop tard.
Il faut tout d’abord descendre vers la « vacherie » située une centaine de mètres plus bas. A peine sorties de l’enceinte du prieuré de La Madone que nous nous trouvons déjà devant un névé à traverser. Il faut dire que cette année il y a beaucoup de neige. Patrick Mirallet, gardien du refuge, avait bien raison de nous conseiller de prendre les raquettes pour effectuer nos randonnées.
La petite traversée se fait sans problème. 
Par le sentier bien marqué nous descendons vers la vacherie.
-          La vacherie ? pourquoi ça s’appelle comme ça demande Lucie.
-          Parce que c’est une maison qui reçoit des vaches.
On arrive à un poteau indicateur. Plusieurs inscriptions et indications à découvrir. Les dessins des diverses interdictions sont bien compris. Mais à quoi sert ce chiffre de « 359 » ? on verra ce soir.
On quitte le GR pour un sentier qui monte en raides lacets. Il n’y a plus de balises rouge et blanches. Le chemin est marqué par des « caïrns » : petits tas de cailloux qu’il est de bon ton d’augmenter au passage.
Un peu plus haut, les yeux perçants de Lucas vont découvrir, à une centaine de mètres, un chamois qui se promène tranquillement.
Il y a bien quelques fleurs par ci par là mais difficile à dénommer.
Je reconnais les crocus et les gentianes de printemps…        
Pour les autres, on regardera ce soir si on trouve leur nom dans le livre des fleurs.
Par des pentes herbeuses et des champs de rhododendrons (qui ne sont pas encore en fleurs) nous tentons d’éviter quelques névés qui se font de plus en plus fréquents.
Nous débouchons sur un premier terre-plein d’où l’on a une superbe vue sur la La Madone de Fenestre. On perçoit mieux l’ensemble de ce prieuré, site de pèlerinage très connu. Aujourd’hui il devait y avoir une manifestation particulière car il y avait beaucoup de monde et ils avaient sortis la statue de la Madone (la Vierge) dans la cour du prieuré.
Après une courte pause nous reprenons notre progression. On évite encore quelques névés et on se retrouve vite sur un deuxième terre plein, début du vallon du Ponset. Là, difficile d’éviter la neige qui remplit le vallon.
Sur un coin herbeux à peu près sec, nous faisons une nouvelle pause et nous en profitons pour mettre les raquettes. Il faut faire quelques réglages, quelques ajustements pour les « petits » pieds. Nos quatre jeunes alpinistes ont des raquettes un peu grandes pour eux mais finalement ils arrivent à les mettre.
Le ciel est bien couvert. On a bien eu quelques gouttes en montant mais rien de bien grave. Alors on continue.
La neige est bien molle et encore très épaisse. Cependant il faut être vigilant sur les passages de torrents. Les ponts de neige doivent être fragile.
Devant, je teste de mes bâtons la qualité de la neige dans ces passages délicats.
En moins d’une demie heure nous arrivons au pied de la difficulté du jour : un couloir de neige assez raide d’une cinquantaine de mètres de hauteur mais que l’on peut contourner en faisant une large boucle par la droite. Vu la qualité de la neige si il y a « glissade », on ne risque pas grand-chose.
-          Alors, qu’est ce que l’on fait ? on va tout droit ou on contourne ? demandais-je à mes jeunes compagnons.
-          On va tout droit, répondent-ils en chœur.
-          Ca va être raide ! insistais-je
-          Tant pis ! tout droit.
Est-ce parce qu’ils pensent que c’est plus court ! Je demande à David et Lionel si pour eux ça ira car ils portent respectivement dans leur dos Natacha et Julie ( 2 ans et demi) et ça fait du poids.
-          C’est bon ! ça ira !
Alors on commence à monter. En court lacets tout d’abord, mais très vite la pente se redresse et en raquette, il vaut mieux l’affronter de front. Clément me suit et les trois autres derrière. Pas de problème. Mais la pente se redresse encore un peu et Clément commence à avoir des difficulté à rester debout sur ses raquettes. Bien que j’essaie de faire des traces les plus « plates et courtes » possible, il n’arrive pas à les prendre correctement et ses pieds partent en arrière. Lucie, elle, semble à l’aise, comme Lucas et Florian qui, même si ils soufflent un peu se régalent dans cette montée. Je suis agréablement surpris.
-          On pourra sauter en descendant ? me demande Florian.
-          Tu verras bien si tu peux !
A une dizaine de mètres du sommet Clément craque. Lucie le dépasse ainsi que Florian et Lucas. Bien qu’encouragé, conseillé par son papa (Lionel) qui est juste derrière lui, il n’y arrive pas. Je redescends alors à sa hauteur pour lui donner un coup de main. Je n’ai pas de « charge » sur le dos alors c’est un peu plus facile. Il se calme et on finit par sortir du couloir.
« On va rigoler à la descente » pensais-je.
En attendant on continue vers un mamelon. La Baisse des 5 lacs n’est pas loin mais il es plus prudent de s’en arrêter là pour aujourd’hui. En effet, il reste encore un ressaut à franchir avant d’y arriver. Mais je pense qu’ils ont eu leur plein d’émotion. De plus deux facteurs nous engagent à nous arrêter : l’heure, ils est 16 h 30 et le temps, ça devient très noir dans la vallée de la Vésubie et ça monte vers nous.
-          Allez on mange et on boit, et on ne s’attarde pas trop.
-          On descend par le couloir ? s’inquiète Lucie.
Si je ne me fais pas trop de souci pour Florian, je reste un peu inquiet sur la façon que Lucie, Lucas et Clément risquent d’appréhender cette descente. De plus pour David et Lionel, porteurs de Natacha et Julie, il vaut mieux éviter.
-          Non, on va descendre par une pente moins raide, par la gauche.
Le ciel se fait de plus en plus noir. Cette fois-ci, difficile d’éviter la douche !
On entame la descente. Très vite on se trouve en haut du couloir que l’on contourne par la gauche. La neige est très molle. C’est donc « théoriquement » pas difficile. A peine commençons nous à descendre que la pluie se met de la partie, ce qui ne fait qu’accentuer l’appréhension de nos trappeurs. Puis le brouillard s’y met et puis l’orage qui gronde…. La totale.
Florian est assez à l’aise dans cette descente et avec David, ils arrivent vite sur le replat.
-          On continue ! me dit il, Il faut passer entre les rochers, là-bas ?
-          Oui ! et j’espérais qu’il retrouve nos traces de montée.
J’observe le reste de la troupe qui descend doucement, très doucement, avec Claudine, Lionel et Sophie qui ferment la marche. La pluie redouble. « Ils vont être trempés » pensais-je. Mouillés pour mouillés je les encourage à se laisser glisser dans la neige… mais ils n’osent pas.
Plus bas David continue et comme le brouillard monte, il disparait à notre vue.
-          Reste à vue lui criais-je ! mais je ne sais pas si il m’entend.
Il ne faudrait pas que l’on se perde ! Heureusement le brouillard n’est que par intermittence.
-          Je suis toute mouillée ! me dit Lucie en arrivant à ma hauteur et j’ai froid.
-          Il faut que tu te bouges pour que tu te réchauffes. Il n’y a qu’en marchant que tu te réchaufferas.
Au loin, je vois David qui part trop à gauche. On descend un peu plus rapidement maintenant. On crie tous à David que le passage est plus à droite. Enfin il se retourne et comprend son erreur. Il bifurque vers la droite pour remonter vers le passage. J’emmène directement le reste du groupe directement vers le bon passage. Une fois revenus sur l’herbe, j’enlève les raquettes de Lucie, Lucas et Clément. Au passage du torrent, Lionel, Claudine, et Sophie entourent David et Florian. Je ne comprend pas trop ce qui se passe. Finalement ils arrivent :
-          Florian est passé dans un trou et s’est mouillé jusqu’à la taille.
-          J’ai pas fait attention en traversant, poursuit David et il y avait des petits ruisseaux. Alors on y est tombé dedans…
Toujours des petites erreurs qui pourraient avoir des conséquences plus graves. J’aurais du le mettre en garde lors que j’ai vu qu’il se trompait de route.
-          J’ai un tee-shirt sec dans mon sac, dit Claudine. Je vais le lui mettre.
En quelques secondes Florian est torse nu et Claudine lui passe le vêtement sec. La pluie s’est calmée, mais l’orage gronde, heureusement encore lointainement.
Lucie se plaint aussi d’avoir un peu froid, alors on se bouge et on commence la descente. Sur le sentier c’est plus facile et en se bougeant ainsi les petits corps se réchauffent. Ca va vite un peu mieux et le sourire revient sur leur visage. Bien emmitouflés dans les porte-bébés, Natacha et Julie sont à peu près au sec. Mais il ne faut pas trainer. La pluie revient par intermittence puis finit par s’arrêter alors que l’on arrive pratiquement à la vacherie. La petite remontée vers le refuge va se faire avec quelques rayons de soleil. Maintenant, Lucie, Florian, Lucas et Clément rigolent et déjà les désagréments liés à la pluie, au froid, sont oubliés.A peine arrivés au refuge nos petits alpinistes se précipitent vers les douches et se mettre des affaires sèches. Claudine Sophie et Lionel vont s’en occuper.
Je redescends vers David qui fait marcher Natacha. Apparemment elle adore ça. Elle passera même le passage du névé, ravie de mettre les pieds sur la neige.
18h 30, tous sont douchés, secs et déjà à pied d’œuvre… sur les DS.
Un peu avant 19 h je les rassemble tous pour voir sur la carte le trajet que l’on a fait et leur donner quelques notions d’orientation. Puis voir le parcours de demain.
-          On va faire comme aujourd’hui ? s’inquiètent-ils.
-          Demain on va ailleurs mais il y aura un peu plus de dénivelé.
-          C’est quoi le dénivelé ?
 
Un complément d’information s’impose alors… un peu de calcul mental ou sur papier est effectué. Aujourd’hui on est parti de 1903 m pour aller jusqu’à 2250 m. Ca fait combien ? 347 m finissent ils par trouver.
Demain on va au col de Fenestre. Déjà il faut le trouver sur la carte et repérer son altitude. 2474 m.
Donc on fait combien de dénivelé ? 2474 m – 1903 m …. Ca y est ça à l’air d’être compris. 571 m !!!
-           Oh !! ça fait beaucoup ??
-          Oui, mais vous les ferez plus facilement qu’aujourd’hui !
A leur tête, je vois qu’ils ne sont pas tellement convaincus.
 
C’est l’heure du repas. On plie cartes et boussole. Florian semble avoir bien compris les bases de l’orientation. « On verra demain si tu nous fais prendre le bon sentier ! ».
Une bonne soupe bien copieuse, une daube excellente, du bon fromage de montagne et une compote pour dessert. C’est le menu de ce soir concocté par Patrick l’excellent gardien cuisinier de ce refuge et apprécié de tous.
Du repos est ensuite nécessaire. Nos alpinistes en herbe regagne leur chambre et au son de leur DS vont progressivement s’endormir. Petit déjeuner à 8h pour un départ prévu vers 9 heures
-          Il va faire « Grand Beau » demain , nous dit Patrick. Enfin c’est ce que dit météo France !
-          Ce serait bien !
C’est avec cette lueur d’espoir que nous nous préparons à passer une bonne nuit.
 
Dimanche 30 mai…      « Bonne fête mamans »
La nuit apparemment a été bonne pour tous… peut être un peu agitée pour David : Natacha avait perdu son « Doudou » !
En tout cas, lorsque je rentre dans le dortoir des « pitchouns », ils sont là, silencieux, sur leur lit entrain de tapoter leur DS ! Il est 7h 30.
C’est l’heure de se préparer, de s’habiller et de venir déjeuner.
Self-service ! Le petit déjeuner est copieux. Il le faudra bien pour la journée qui s’annonce.
En guise de « grand beau » on a droit à une couverture nuageuse importante. Je peste dans mon for intérieur.
Le petit déjeuner pris, il faut faire les sacs, rassembler les affaires…
Je rappelle à Florian qu’il doit nous montrer le chemin de départ.
-          Ah oui ! fit-il, il faut partir pleine Nord.
Il sort la carte, la boussole, hésite et finalement sort. Après quelques conseils, il s’oriente et désigne la bonne direction.
-          On prend ce chemin !
Il se rapproche du grand panneau et montre à Lucas, Lucie et Clément le parcours que l’on va faire….
 
Le ciel s’est enfin dégagé. L’espoir d’une belle journée renaît.
 
Sur les conseils de Florian nous partons sur le sentier qui doit nous mener au col de Fenestre.
Très vite nous arrivons à un premier névé. Avec l’expérience de la veille, pas de problème. Ce n’est pas ce petit bout de neige qui va faire peur à nos « trappeurs ».
Puis c’est une deuxième, un peu plus long, un peu plus raide.
 
Claudine et moi nous nous intercalons entre nos jeunes compagnons : rassure, sécuriser. Mais il ont un bon pied montagnard et le passage est franchi sans problème.
 
Le sentier se poursuit. Quelques sifflements de marmottes réveillent les sens, mais elles restent invisibles. Tiens un chamois là-bas qui se ballade, puis un autre plus haut, se détachant remarquablement sur une crête rocheuse. Finalement on verra également quelques petites marmotes gambadant dans les prairies mais un peu loin !
Au premier carrefour, Florian nous donne la bonne direction.
Au bout d’une heure, on fait une bonne pause.
-          Jean ! De combien on est monté ?
Je regarde mon altimètre et annonce que l’on est à 2157 m.
-          Alors, ca fait combien ? demandais-je.
Dur, dur le calcul mental ! mais finalement ils finissent par trouver : 254 m. Encore 320 m environ.
Pour éviter de mettre les raquettes ont prend quelques croupes herbeuses et rocheuses pour arriver au premier fortin en béton (reste de la seconde guerre mondiale. Nous sommes à la frontière Italienne).
Là impossible d’éviter la neige. Je teste sa « portance » et décide de continuer sans les raquettes. Ils sont plus légers que moi donc s’enfoncerons moins.
 
La décision est bonne. La neige porte encore bien. Je ne m’enfonce pas trop et c’est moins fatigant de marcher ainsi qu’avec les raquettes.
Doucement, tranquillement, nous nous approchons du col.
David, Lionel et Sophie, avec leur petit dans le sac sont un peu plus loin. Comme nous avaçons doucement ils nous rattraperons bien.
Mais nos jeunes alpinistes sont en pleine forme et avancent finalement d’un bon rythme. Le dernier raidillon est un peu plus dur mais l’objectif est là, tout prêt, avec un beau soleil de plus, alors tout va bien.
Il n’est pas tout à fait midi lorsque nous arrivons au col. Ah ! ils sont heureux d’y être arrivé. Oubliée la fatigue de la veille, la pluie , le froid….
Quelques minutes plus tard arrivent David, Lionel et Sophie chargés de Natacha et Julie.
Après une photo collective prise par une cordée qui nous a précédé nous profitons du soleil et d’être à l’abri du vent pour faire une bonne pause casse-croute… bien méritée.
Sur la crête de Saint Robert, à une cinquantaine de mètres au dessus de nous, Florian aperçoit un chamois qui ne bouge pas. Peut être est il blessé ?
Si je monte vers lui et qu’il bouge, c’est que ça va bien.
Lorsque je suis à une vingtaine de mètres, il se lève. En fait c’est elle car c’est une femelle, couchée au soleil et bien « pleine ». Je regrette un peu de l’avoir dérangée.
Elle passe derrière un bec rocheux. Je monte jusque là pour apercevoir un groupe de bouquetins et chamois entrain de prendre le soleil. Je me cale, sans les déranger et prend quelques clichés. Ils m’ont senti, certes mais ne bougent pas.
Il y a là un beau mâle, au moins une femelle et quelques petits, plutôt des bouquetins.
J’en profite pour faire quelques photos avant de redescendre rejoindre mes compagnons de rando.
-          Pour la descente on mettra les raquettes. Cela évitera de trop s’enfoncer.
Toutes les raquettes règlées nous commençons à descendre. Dés que la pente s’accentue, Lucie éprouve quelques difficultés. La neige et molle les risques de chutes suivies de glissades sont limitées. Alors je ne comprends pas pourquoi elle avance si lentement.
Lucas, Florian et Clément descendent avec « ardeur » entourés de David, Lionel (toujours avec Natacha et Julie sur le dos, Sophie et Claudine. Ils prennent vite de la distance.
Au bout d’un moment, Lucie ayant toujours autant de difficulté, je décide de lui enlever les raquettes. Comme elle est légère, elle ne s’enfonce pas et finalement descend bien mieux comme cela.
C’est donc assez rapidement que nous rejoignons le reste du groupe.
Une petite collation, un bon coup à boire et la descente reprend.
Le sentier est apprécié mais il faut prendre quelques raccourcis pour éviter quelques névés.
Puis c’est le grand névé qu’il faut traverser. Mais il est finalement plus facile de le descendre alors c’est la grande cavalcade dans la neige molle. Même Lucie est dans le rythme.
Arrivés au refuge, tout le monde a droit à un bon gouter : boisson et tarte aux myrtilles.
Affaires pliées, voiture rangées, un adieu à Patrick Mirallet et c’est le retour vers Carcès.
Fin d’un bon WE riche en évènements de toutes sortes.
 
Jean
 
 
WEEK END TRAPPEUR
 
Premier jour
Une randonnée fatigante avec des conditions très dures.. A un endroit je n’arrivais pas à monter car ça glissait trop. Je suis arrivé au refuge gelé mais j’étais fier de ma randonnée.
Le refuge était bien et on a bien dormi.
 
Deuxième jour
Le départ était super bien. Après, un peu dur dans la neige. On est monté sans les raquettes jusqu’au col. Il y avait une petite maisonnette dans laquelle on s’est bien amusé. On a vu un bouquetin descendre notre col. On est descendu en raquettes et on a bien rigolé en tombant.
Ca WE était vachement sympa.
 
Dans mon sac à dos :
A boire
Le gouter et le pique nique
Poncho
Couverture de survie
Des trucs pour tenir chaud
Un tube de crème de soleil
Des lunettes
Une casquette
Une boussole et la carte
 
CLEMENT






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